Les Fourmis rouges

Les fourmis rouges progressent sans relâche...

Les Fourmis rouges est un film de Luxembourg, j’ai vu ce film à l’occasion du deuxième festival des films de l’UE. Je savais rien à propos de ce film avant de le voir. Je savais seulement que le rôle principal de ce film est Déborah François, j’avais vu un de ses films avant, qui s’appelle le premier Jour du Reste de ta Vie, ce film m’avait beaucoup impressionnée donc je voulais voir celui-ci : les Fourmis rouges.

Après la mort de sa mère, l’adolescente Alex vit avec son père très désespéré, elle fait tout son effort de remotiver son père et elle veut remplacer sa mère pour tirer son père de l’ombre de l’accident de sa femme. Elle fait des petits boulots humiliants juste pour gagner un peu d’argent pour acquitter les dettes. On peut dire qu’elle travail sans relâche comme des fourmis rouges, mqis ce n’est pas pour elle-même, c’est pour les autres...

Quand Alex travail pour une vieille dame, chez cette dame, elle rencontre un garçon passionné de la musique qui est un orphelin adopté par cette dame et son mari. Après la mort de son mari, cette dame veut faire rester ce garçon auprès d’elle, donc elle cache la lettre d’admission venue de concervatoire pour le garçon et lui dit qu’il n’a pas de talent. D’un autre côté, pour prendre soin de cette dame ; le garçon doit rester chez elle et renoncer à son rêve de musique, il a peur de cette vieille femme et fait tout ce qu’elle veut.

L’amitié de ces deux jeunes vivant pour les autres se développe peu à peu, et ils découvrent aussi la réalité lors de la mort de cette vieille dame, et après, ils prendent la décision à vivre comme ils veulent, et à la fin, Alex réussit à trouver l’affection avec son père.

Après avoir vu ce film, je me demande, c’est quoi l’amour ? La vieille femme aime beaucoup me garçon mais elle cache son avenir avec l’intention, elle veut l’attacher auprès d’elle pour toujours, à mes yeux, cette dame est un peu égoïste, elle a un désir de prossession très intensif, elle l’aime tellement qu’elle ne veut pas le quitter d’un seul pas ! Le père aussi, il aime sa fille, mais tourmenté par la mort de sa femme, il n’ose pas faire face à sa fille. Il ne voit pas qu’il la laisse une grande charge de vie, qu’il la laisse subir trop de douleur.

Peut-être on ne peut s’empêcher d’aimer quelqu’un comme ça, peut-être l’amour est bien égoïste et accompagné de prossession, mais on cherche toujours l’amour sans cesse comme les fourmis rouges qui progressent sans relâche...